QUI SOMMES NOUS ?

GÉNÉRIQUE 

Lorsque le volet du Cercle se lève, c’est un lieu qui s’ouvre sur de nouveaux possibles à imaginer, mais surtout à faire. Si l’aventure a commencé avec un trio d’amis passionnés de cinéma, les nouvelles aventures se sont multipliées en élargissant sans cesse ce noyau de base. On intègre le Cercle comme on embarque dans un vaisseau. Sans cesse, de nouvelles destinations se pensent avec l’énergie et les compétences des personnes intégrant l’équipe.

Situé un peu en marge du centre de Liège, le Cercle du Laveu est une salle ancrée dans son quartier et consciente de faire partie d’un maillage beaucoup plus large constitué par le tissu culturel de la ville de Liège et par-delà.

Outre la dynamique collective se développant au gré des vents et marées de l’environnement politique et social, on y propose des projections cinématographiques, des concerts, des écoutes radiophoniques, des parlottes pour ne pas dire des conférences, des ateliers zéro déchets, des moments conviviaux autour de soirées jeux de société et d’un bar qui prolonge la plupart des activités pour laisser place à l’informel pour construire de nouveaux liens entre les gens et les idées.

Entièrement basé sur le bénévolat, le fonctionnement du Cercle est une expérience quotidienne du “faire ensemble“, un apprentissage constant de la discussion et de l’action qui tend vers le partage de communs.

ACTIONS !

Les activités du Cercle sont basées sur le plaisir que chacun a de prendre part à la dynamique collective. Conscients que pour faire les choses, il faut mettre la main à la pâte et que rien ne se fait sans effort, ce qui est recherché est de faire et penser les choses avec cœur. Et à cœur battant rien n’est impossible comme dirait l’autre.

Au Cercle, on apprend à mettre ses limites mais aussi à les dépasser. C’est surtout un lieu pour tenter de faire les choses autrement. Autrement que ce qu’on a l’habitude de faire pour soi, autrement qu’au sein d’une institution dans laquelle on travaillerait, autrement que ce que l’on pourrait attendre de ce type de lieu culturel et social. On peut inventer, et avec l’autre, trouver l’énergie pour réaliser nos désirs. C’est sans doute cette ligne de conduite qui nous stimule à donner voix aux œuvres cinématographiques oubliées, à ouvrir des voies pour l’inopiné, à se donner les moyens d’être impertinents. Nos archives en témoigneront.