LE CERCLE DU LAVEU

Pour ouvrir ce grand bal des absences, voici l’histoire, menée tambour battant et sans poil au menton, d’un mari infidèle autour duquel se déploie un véritable carrousel de portraits féminins. L’homme n’existe ici que dans le regard de l’épouse infortunée, et dans la bienveillance comme dans les rosseries de ses amies oisives et quelque peu cancanières. Entre amour et divorce, entre parfums et chapeaux, entre biches et panthères, le public sera la proie de cette piquante question: drame féministe ou farce misogyne? Question qu’il restera, bien entendu, libre d’esquiver…